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Date de mise à jour:
2012/11/11
Condensé de la question
Est-il permis de prendre un tableau, la coupole des fleurs aux associations de bienfaisance et de les offrir aux éprouvés du défunt ? Et surtout si on livre une sorte de concurrence. Est-ce que les récompenses seront attribuées aux morts dans cette circonstance ?
Question
Comme vous le savez, on organise les funérailles et les quarante jours après le décès de quelqu’un. Les gens passent des commandes de tableaux et des gerbes de fleurs auprès des associations de bienfaisance et les apporte à la famille éprouvée. Certes je n’émets pas de jugements au sujet de l’intention des gens. Mais, en ce qui me concerne personnellement, j’ai déjà à plusieurs reprises commandé des tableaux et dans la plupart du temps pour m’exhiber et que mon nom soit parmi les noms et que les membres de la famille éprouvée le voit. En d’autres termes, je posais ce genre d’acte pour susciter l’enthousiasme des membres de la famille éprouvée et j’avais également un demi regard pour l’envoie des présents à la mémoire du mort. Cependant, s’il n’y avait pas une sorte de concurrence et le fait de s’exhiber dans ce genre de circonstance, je pense que je n’aurais pas fait de tels dons ou alors je l’aurai fait à un degré beaucoup plus réduit pour le mort. De toutes les manières, je veux savoir si avec ce manque de sincérité, et à travers de pareils gestes, la récompense parvient au mort ? Est-ce que nos actes seront récompensés ou alors ce genre de don auprès de Dieu est rejeté à cause du manque de sincérité et que le mort ne profiter également de rien ?
Résumé de la réponse
On peut repartir les actes d’adoration de l’homme sous différents aspects. Certains actes d’adoration qui se font de manière discrète ont plus de récompenses et d’autres devraient se faire en public. En effet, si on le fait derrière les rideaux, l’objectif fixé pour ce genre d’acte par la religion islamique ne se concrétisera pas. Adresser les condoléances à la famille éprouvée fait partie des choses qu’on peut faire discrètement en se présentant par exemple auprès d’eux et on peut atteindre le but convenable uniquement en se présentement auprès d’eux. Raison pour laquelle, non seulement ce genre de présence n’est pas considéré comme une manière de s’exhiber ou de se venter, mais cela regorge des récompenses. La tradition islamique veut qu’on apporte une certaine tranquillité et sérénité d’esprit aux membres de la famille éprouvée. Et qu’on tire des leçons de la mort des autres, qu’on mette de côté l’orgueil, l’esprit de concurrence et bien d’autres attitudes inappréciées.
Réponse détaillée
On peut repartir la réponse à la question suivante en deux sections :
1 – Se faire voir auprès des membres de la famille éprouvée lors les funérailles présente une contradiction avec l’intention divine ?
2 – les tableaux, les gerbes de fleurs et bien d’autres choses de ce genre que les participants apportent dans les funérailles, quel est le jugement islamique à ce sujet ?
Nous procédons par ordre à la réponse à ces deux questions :
1 – Contrairement à ce que certains pensent, l’intention divine et la sincérité ne se concrétisent pas toujours lorsqu’on cache ou on pose certains bons actes discrètement. Bien que certains actes d’adoration individuelle devraient se faire dans un cadre calme, retiré et discret régénère plus de récompenses pour l’adorateur, d’autres actes d’adoration à caractère social devrait se faire publiquement, car c’est en les faisant publiquement qu’on a plus de récompenses. Certains actes en soi ne sauraient être accomplis discrètement.
L’un des comportements sociaux beaucoup appréciés par l’islam et qui fait partie du cercle des actes d’adoration consiste à adresser les condoléances aux membres de la famille du défunt.
Il est rapporté du messager de Dieu : « quiconque adresse ses condoléances aux gens éprouvés, Dieu lui accordera le respect le jour du jugement, le couvrira d’un beau vêtement »[1] et il est clair que plus le nombre de gens qui vont présenter leurs condoléances est élevé, plus les amis et les connaissances participent à ce genre de cérémonie, la famille sera davantage réconforté. Raison pour laquelle il est mieux quelqu’un ne se contente pas de participer discrètement aux funérailles. La personne doit fournir des efforts pour se montrer aux membres de la famille éprouvée et leur montrer que vous partager leur douleur. Puisqu’un tel comportement est considéré comme un acte d’adoration social, cela ne présente aucune contradiction avec la bonne intention, on ne peut pas considérer cela comme une manière de se faire voir ou de se venter, car même les hadiths et des infaillibles le recommande dans leurs propos.[2] L’imam Sadiq (as) dit à ce sujet : « Adresser les condoléances à la famille est une obligation religieuse »[3] Après avoir enterré le mort, on doit adresser les condoléances à la famille et le strict minimum de ces condoléances consiste à se présenter dans les cérémonies funèbres organisées par la famille dans le but de rencontrer ses membres éprouvés. Ainsi, on peut conclure que se présenter devant les membres de la famille n’est pas une manière de se venter ou de se faire voir.
2 – Quant au deuxième volet de la question, il faut dire qu’il y a des coutumes plutôt déplacées que les gens organisent en marge de cérémonie des funérailles et les croyants ont le devoir d’éradiquer ce genre de pratique entre autre, par exemple, les gens doivent se présenter au cimetière. Car lorsqu’on s’y rend, on se rappelle de Dieu et du jour du jugement et on essaye également de se désintéresser du bas monde. C’est pour cette raison que les guides religieux recommandent aux gens que si un homme doit choisir entre les cérémonies funèbres et une réception quelque part, il vaudrait mieux qu’il choisisse le premier, car les funérailles suscitent le souvenir de l’au-delà quant aux réceptions, cela n’a qu’un aspect beaucoup plus mondain.[4]
Peut-on considérer des cérémonies de funérailles dans lesquelles un grand banquet est organisé avec différentes formes de nourriture et où les invités sont au petit soin comme un cadre dans lequel on peut se rappeler de l’au-delà ? En fait, il est t-il convenable que les cérémonies des funérailles soient accompagné des réceptions ?
L’imam Sadiq (as) était entré dans une cérémonie de funérailles et il s’était adressé ainsi aux gens qui étaient présents : « que Dieu comble la tragédie qui vous est arrivé. Il vous donnera beaucoup de récompenses par rapport à votre patience et votre endurance. Qu’il mette le mort sous sa miséricorde. Ensuite, l’imam quitta la cérémonie »[5]
REFERENCE :
1 – Se faire voir auprès des membres de la famille éprouvée lors les funérailles présente une contradiction avec l’intention divine ?
2 – les tableaux, les gerbes de fleurs et bien d’autres choses de ce genre que les participants apportent dans les funérailles, quel est le jugement islamique à ce sujet ?
Nous procédons par ordre à la réponse à ces deux questions :
1 – Contrairement à ce que certains pensent, l’intention divine et la sincérité ne se concrétisent pas toujours lorsqu’on cache ou on pose certains bons actes discrètement. Bien que certains actes d’adoration individuelle devraient se faire dans un cadre calme, retiré et discret régénère plus de récompenses pour l’adorateur, d’autres actes d’adoration à caractère social devrait se faire publiquement, car c’est en les faisant publiquement qu’on a plus de récompenses. Certains actes en soi ne sauraient être accomplis discrètement.
L’un des comportements sociaux beaucoup appréciés par l’islam et qui fait partie du cercle des actes d’adoration consiste à adresser les condoléances aux membres de la famille du défunt.
Il est rapporté du messager de Dieu : « quiconque adresse ses condoléances aux gens éprouvés, Dieu lui accordera le respect le jour du jugement, le couvrira d’un beau vêtement »[1] et il est clair que plus le nombre de gens qui vont présenter leurs condoléances est élevé, plus les amis et les connaissances participent à ce genre de cérémonie, la famille sera davantage réconforté. Raison pour laquelle il est mieux quelqu’un ne se contente pas de participer discrètement aux funérailles. La personne doit fournir des efforts pour se montrer aux membres de la famille éprouvée et leur montrer que vous partager leur douleur. Puisqu’un tel comportement est considéré comme un acte d’adoration social, cela ne présente aucune contradiction avec la bonne intention, on ne peut pas considérer cela comme une manière de se faire voir ou de se venter, car même les hadiths et des infaillibles le recommande dans leurs propos.[2] L’imam Sadiq (as) dit à ce sujet : « Adresser les condoléances à la famille est une obligation religieuse »[3] Après avoir enterré le mort, on doit adresser les condoléances à la famille et le strict minimum de ces condoléances consiste à se présenter dans les cérémonies funèbres organisées par la famille dans le but de rencontrer ses membres éprouvés. Ainsi, on peut conclure que se présenter devant les membres de la famille n’est pas une manière de se venter ou de se faire voir.
2 – Quant au deuxième volet de la question, il faut dire qu’il y a des coutumes plutôt déplacées que les gens organisent en marge de cérémonie des funérailles et les croyants ont le devoir d’éradiquer ce genre de pratique entre autre, par exemple, les gens doivent se présenter au cimetière. Car lorsqu’on s’y rend, on se rappelle de Dieu et du jour du jugement et on essaye également de se désintéresser du bas monde. C’est pour cette raison que les guides religieux recommandent aux gens que si un homme doit choisir entre les cérémonies funèbres et une réception quelque part, il vaudrait mieux qu’il choisisse le premier, car les funérailles suscitent le souvenir de l’au-delà quant aux réceptions, cela n’a qu’un aspect beaucoup plus mondain.[4]
Peut-on considérer des cérémonies de funérailles dans lesquelles un grand banquet est organisé avec différentes formes de nourriture et où les invités sont au petit soin comme un cadre dans lequel on peut se rappeler de l’au-delà ? En fait, il est t-il convenable que les cérémonies des funérailles soient accompagné des réceptions ?
L’imam Sadiq (as) était entré dans une cérémonie de funérailles et il s’était adressé ainsi aux gens qui étaient présents : « que Dieu comble la tragédie qui vous est arrivé. Il vous donnera beaucoup de récompenses par rapport à votre patience et votre endurance. Qu’il mette le mort sous sa miséricorde. Ensuite, l’imam quitta la cérémonie »[5]
REFERENCE :
Q traductions dans d'autres langues
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