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Il n’y a absolument aucun doute en ce qui concerne le fait qu’on a fabriqué les hadiths pour venter les mérites de Mouawiya. Des gens tels qu’Ibn Hajar ont écris des livres sur les mérites de Mouawiya comme par exemple son livre intitulé « Tadhir Al Janan wouol Lisane » certains font l’objet de reproches justes parce qu’ils ne mentionnent pas les mérites de Mouawiya plus précisément ceux qu’on traite de chiites. Mais cette sauce est tellement si salée qu’elle fait l’objet de contestation de tout le monde y compris celui qui l’a cuisiné. Ces hadiths sont considérés comme inacceptables par beaucoup de sunnites qui vont jusqu’à déclarer qu’il n’existe aucun hadith authentique au sujet des mérites de Mouawiya. Mais ce groupe dit également des choses allant dans le sens de l’éloge de Mouawiya même sans hadith. Sarhassi dit au sujet de Mouawiya : « il fait partie des grands compagnons que Dieu les agréé et il était l’un des scribes de la révélation, le prince des croyants et le messager de Dieu que la paix et la bénédiction de Dieu soit sur lui et sa famille l’a informé qu’il règnera après lui. Il lui dit ceci un jour : « soit bienveillant envers les gens lorsque tu seras le chef de ma communauté. Sauf que son tour devait arriver après celui d’Ali (as). Le temps du califat passa et Mouawiya commis des erreurs en créant des ennuis à Ali (as) en abandonnant son devoir de soumission envers lui. il n’est pas permis de dire davantage que ça » le temps du califat est passé un moment, il a commis une erreur en causant des ennuis à Ali (as) que Dieu l’agrée en laissant ce qui était obligatoire venant en ce qui concerne l’ordre que l’imam Ali (as) avait donné. Il n’est pas permis d’aller au-delà ceci en à propos de cette affaire. Ibn Teimiya dit également : « à propos de Mouawiya, on a rien de particulier sur ses mérites dans les livres authentiques de hadiths mais il a vécu avec le prophète (ç) que la paix et la bénédiction de Dieu soit lui la guerre de Hounein, la guerre de Ta’if, de Gazwa, de Tabouk. Il a fait le pèlerinage d’adieu avec le prophète (ç). Il faisait partie des scribes ou de la révélation et il fait partie des gens en qui le messager d’Allah a fait confiance en lui confiant la rédaction de la révélation comme il a confié à bien d’autres parmi les compagnons »
Nous nous sommes particulièrement étendue en répondant auparavant à la question de la fabrication des hadiths par Mouawiya mais en ce qui concerne le point soulevé, il faut dire ceci : « il n’y a pas de doute que les hadiths ont été fabriqués au sujet des mérites de Mouawiya. Mais cette sauce mijotée est tellement salée qu’elle est suscité la protestation de tous y compris le cuisinier lui-même. »[1] Ces hadiths ne sont pas du tout acceptable par nombre de sunnites.
Dans un premier temps, nous allons évoquer les efforts d’un groupe particulièrement engagé pour faire valoir les mérites de Mouawiya et de Yazid en fabriquant des hadiths ou en écrivant des livres. Ensuite, nous chercherons à savoir s’il existe un hadith authentique au sujet des mérites de Mouawiya.
Premier point : sunnites ont pris l’initiative de trouver des mérites pour Mouawiya et Yazid. Ce qui apparait ci-dessous constitue un rapport sommaire à ce sujet :
L’amitié que certains éprouvent pour Mouawiya fait en sorte qu’ils fabriquent des hadiths ventant les mérites de cet homme. Mohammad ibn Abdoul Wahid Abou Amr Goulam Sahalab a écris un essaie sur les mérites de Mouawiya, cet homme dont la vie est pleine de vices et de perversité. Nous avons également ibn Hajar dans « Lisan ul Mizane, vol1, page 374 » il écrit sous le nom de Is’haq ibn Mohammad Soussi : « cet homme a amené des sujets[2] de Mouawiya.
Oubeidoullah Sekti rapporte de lui, une histoire que lui et son maitre ont fabriqué.[3] Ibn Hajar Makki a rédigé un livre intitulé « Tadhir ul Janan wouo Lisan » rien que pour les mérites de Mouawiya.[4] Hafiz Abdoul Mounguiz Hanbali est parti des faits préconçus et fabriqués pour écrire un livre sur les mérites de Yazid ibn Mouawiya.[5] Abou Oumar Zaïd ou Abou Amr Zaïd est parti des hadiths fabriqués pour écrire un livre faisant l’éloge de Mouawiya ibn Abou Soufiyane. Bardoni a également fabriqué des hadiths au sujet des mérites de Mouawiya.[6]
Etudiez le livre « Al Shari’atoul lil Ajiri, vol 5, chapitre Faza’ilul ibn Mouawiya ibn Abou Soufiyane » peut également contribuer à renseigner davantage nos chers lecteurs par rapport à ces hadiths.
Ibn Teimiya d’une par dans une réponse à Allamah Hilli qui se fonde sur le hadith ul teyr pour étayer une affirmation déclare : « le hadith ul teyr n’a pas été rapporté par l’un des compagnons fiables personne parmi les imamites ne confirme l’authenticité de ce hadith. Ce hadith fait partie des hadiths que certains ont rapporté de la même manière qu’ils ont fait sur les mérites de quelqu’un d’autre que ceux d’Ali (as) ils ont fait la même chose au sujet des mérites de Mouawiya en rapportant beaucoup de traditions, ils ont également écris beaucoup de livres. Mais les gens qui maitrisent les hadiths ne confirment ni les traditions rapportées sur Ali (as) ni celles rapportées au sujet de Mouawiya »[7]. D’un autre côté, Hakim Neyshabouri a été traité de chiite par ceux qui ont voulu qu’il fabrique des hadiths sur les mérites de Mouawiya[8] or avant, il disait que les sciences des hadiths ne confirmeront pas de mérites et d’éloge pour Mouawiya.[9] Comment est ce qu’on peut justifier ces contradictions chez lui ?[10] Certes ce n’est pas seulement avec Hakim Neyshabouri qu’on observe un tel comportement, l’auteur de « Sounanou Nassa’i » a également été traité de chiite comme il ressort dans « Wafiyati A’yan ».[11] En effet, Nassa’i avait écris un livre au sujet des mérites et des vertus du prince des croyants Ali (as) et il affirme également : « qu’il n’a pas trouvé de mérite sur Mouawiya cette tradition du prophète dans laquelle Dieu lui remplit le ventre avec la nourriture ».[12]
Il y a également Sarkhasi qui avoue dans « Mabsoud « au chapitre Al Ikrar : « il est rapporté de Masroukh que Dieu soit miséricordieux envers lui qui dit : « on avait envoyé à Mouawiya des figurines en cuivre qu’on vendait dans la zone de l’Inde. Ali Masroukh passait par là et ceci lorsqu’il vit ces figurines il dit : « si je savais qu’il allait me tuer, je les aurais noyé. Mais je crains qu’il m’épuise et me captive. Je jure par Dieu que je ne sais pas quel genre d’homme il (Mouawiya) est : « un homme émerveillé par ses mauvais actes ou alors un homme ayant perdu toute chance en la vie meilleure dans l’au-delà qu’il s’accroche au bas monde ! On dit que ces figurines et ces statuettes s’étaient retrouvées dans le butin et Mouawiya ordonna de les vendre en Inde pour acheter des armes et des protèges Tibia pour la guerre…Masroukh s’est montré arrogant…Masroukh est un savant de la génération suivant immédiatement celle des compagnons et il les dérangeait avec des Fatwa… Mais malgré tout cela, les propos de Mouawiya passent avant les siens…Par ailleurs, nous avons dit que c’est parce qu’il n’a aucun doute sur Masroukh. Et ses propos sur Mouawiya viennent de ses convictions. Toutefois, il (Mouawiya) fait partie des grands compagnons, scribe de la révélation, prince des croyants. Le messager de Dieu lui avait annoncé qu’il règnera sur la communauté après lui. Le prophète (ç) lui dit un jour : « soit bienveillant envers les gens lorsque tu seras le chef de ma communauté. Sauf que son tour devait arriver après celui d’Ali (as). Le temps du califat passa et Mouawiya commis des erreurs en créant des ennuis à Ali (as) en abandonnant son devoir de soumission envers lui. il n’est pas permis de dire davantage que ça »[13]
Allamah Amini l’auteur d’AL Ghadeer rejette ainsi les mérites fabriqués pour faire l’éloge de Mouawiya : « ici nous n’avons pas fait attention aux on a dit et il a dit d’ibn Kathir, nous nous sommes refusés d’écouter certains propos lancé par les anciens depuis les collines de la Syrie. Une voie qui dit : « quiconque éprouve de la rancœur vis-à-vis de Mouawiya allumera lui-même son propre feu en enfer, un feu dans lequel il brûlera ». Nous n’avons également pas fait attention aux songes et rêves sur lesquels s’est appuyé ibn Kathir qui dit : « il y a une déclaration : j’ai vu le messager de Dieu dans le rêve, Aboubakr, Oumar, Ousmane, Ali et Mouawiya étaient auprès de lui, subitement un homme apparu Oumar dit : ô messager de Dieu celui-ci (pointant l’homme de la main nous humilie. Le prophète réprimanda le monsieur et le monsieur et ce dernier dit : ô messager je ne voulais pas l’insulter mais c’est plutôt celui-ci (Mouawiya) que je regardais. Le messager dit : « malheur à toi ne sais tu pas que c’est de mes compagnons ? Il répéta ces propos trois fois. Ensuite, le prophète sortit un poignard, le donna à Mouawiya et lui dit : planque lui ce couteau dans le corps, Mouawiya prit le poignard et frappa le monsieur avec. C’est alors que je sursautais du lit, je me rendis rapidement à la maison et je réalisais que cet homme fut tué la même nuit et cette personne n’est rien d’autre que Rachid Al Koundi ». Nous n’avons également pas pris en considération les convictions de Sa’ad ibn Moussabbab ou Moussabbib qui dit : « toute personne qui meurt alors qu’il éprouve de l’amitié pour Aboubakr, Oumar, Ousmane et Ali et qu’il confesse que ces dix personnes iront au paradis et qu’il adresse des prières et des miséricordes sur Mouawiya ce serait pour Dieu une obligation de ne plus soumettre ses actes au calcul et à la balance »[14]. Nous n’avons également pas fait attention au rêve rapporté d’Oumar ibn Aziz dans lequel Mouawiya dit : « je jure par le seigneur de Ka’aba que je suis devenus modeste » nous ne faisons également pas aux propos d’Ahmad ibn Hanbal qui dit : « qu’est ce que vous avez à faire avec Mouawiya ? Nous demandons la santé et la paix à Dieu ».[15]
En effet, pour avoir une idée et des traditions rapportés dans les ouvrages sunnites au sujet de l’éloge de Mouawiya, vous pouvez lire le livre « Al Ghadeer fi Kitab wouo sunna, vol 11, page 92» vous pouvez également lire « Tarjoumah Ghadeer fi Kitab wouo sunna, vol 21, page 119 ». Par exemple, nous avons un hadith fabriqué que Ferdoz rapporte sur les mérites de Mouawiya : « je suis cité du savoir Ali en est la porte et Mouawiya en est le maillon »[16]. Bien que Sekhavi et ibn Hajar Makki professent l’irrégularité et les défauts dans ce hadith, Manawi a fermé les yeux sur cela et la cité dans son livre « Kanouzoul Aka’iq ».
Il est bien de savoir qu’Allamah Amini dans le même livre « Tarjoumah Al Ghadeer, vol 10 »[17] s’est investi à répondre à ceux qui accusent les chiites d’avoir fabriqué les hadiths. En effet, dans son il a réservé une section intitulé : « analyse et étude des hadiths et comment se présentent les hadiths fabriqués ». il cite alors presque sept cents personnes parmi les rapporteurs de hadiths sunnites qui sont reconnus comme des menteurs et des fabriqueurs de hadiths et il précise que parmi ces sept cents menteurs, quarante trois personnes ont à eux seules rapporté presqu’un demi million de hadiths fabriqués[18] sans oublier près de 100 hadiths mensongers des sunnites qu’ils rapportent et qui confirment le califat et les mérites des califes soient disant bien guidés. Ces hadiths élèvent également les rangs des gens comme Mouawiya, Yazid, Mansour Dawaniki et autres califes des Omeyades et des Abbassides.[19]
Deuxième point : Existe-t-il un hadith authentique au sujet des mérites de Mouawiya ? Abdoullah ibn Ahmad ibn Hanbal dit : « J’ai demandé mon père au sujet d’Ali et de Mouawiya, il répondit : saches qu’Ali a beaucoup d’ennemis et quels que soient les défauts les défauts que ces ennemis ont voulu trouver sur lui, ils n’ont jamais réussi. Raison pour laquelle ils se sont réunis autour de celui qui combattait Ali et qui avec la ruse et les conspirations le montait contre lui (Ali) »[20]. Hakim Neyshabouri dit : « j’ai entendu d’Abou Abbas Mohammad ibn Yakoub ibn Youssouf dire : « j’ai entendu Is’haq ibn Ibrahim Hanzali dire : « il n’existe aucun hadith valable sur les mérites de Mouawiya ».[21] Etant donné que Boukhary n’a pas pu citer des hadiths valables sur Mouawiya, il s’est retrouvé contraint d’ouvrir une page dans le chapitre les mérites compagnons pour évoquer les mérites de Mouawiya.[22] Ibn Hajar Askalani écrit dans « Fathou Bari, vol 7, page 83 » : « ceci constitue la preuve qu’aucun des mérites et autres particularités rapportées de Mouawiya et qui font l’objet des divergences ne présentent aucun fondement ni authenticité. Il existe beaucoup de hadith sur les mérites de Mouawiya et aucune des voies de transmission de ce hadith n’est authentique.[23] Is’haq ibn Rahouvi, Nassa’i et les autres partagent ces mêmes convictions. Mais Mouslim et ibn Marja qui n’ont également pas trouvé un hadith authentique pour faire valoir les mérites de Mouawiya se sont retrouvés contraints dans leurs ouvrages d’ouvrir un chapitre sous le titre d’éloge sur les compagnons. Tirmizi n’a cité qu’un seul hadith (seigneur de lui un guide et celui qui est guidé et fait en sorte qu’avec sa présence les autres soient guidés). Il dit également : « ce hadith est « Hassan garib »[24] or ce hadith est mentionné ainsi : « seigneur guide ». Ibn Teimiya écrit dans « Minhaj, vol 2, page 207 » : « un groupe a évoque les mérites de Mouawiya dans des traditions et des hadiths soient disant venus du messager de Dieu, mais tous cela c’est des mensonges » Firooz Abadi écrit ceci à la fin de son livre « Safar ul Sahada » et Ajlouni dans son livre « Kashful khoulafa, page 420 » disent ceci au sujet des mérites : « il n’existe pas de hadiths authentiques à ce sujet »
Heini dit dans « Oumdatou kari » : « si vous dites qu’il existe beaucoup de hadiths au sujet des mérites de Mouawiya je dirai oui mais aucun de ces hadiths n’a été rapporté d’une chaine de transmission authentique. Choukani écrit également dans « Fawa’idoul Majmou’a » : « les mémorisateurs de hadiths s’accordent sur le fait qu’aucun hadith sur les mérites de Mouawiya n’est authentique »[25]
En conclusion, pour essayer de laver Mouawiya et Yazid de tous les soupçons qu’ils ont engagés, certains se sont lancés dans la fabrication de hadiths, mais ils n’ont pas réussi. Mais en temps, ceux qui affirment qu’il n’existe pas de hadith authentique sur les mérites de Mouawiya ne se dér rangent pas à fabriquer des propos élogieux à son égard. Des gens tels qu’Ibn Teimiya, et Sarkhasi.
[1] - Cette expression est un proverbe dans la langue persane : « tellement la sauce était salée que le cuisinier lui-même se rendit compte et lança un cri ».
[2] - Hadiths fabriqués et conçus.
[3] - Tarjoumat ul Ghadeer fi Kitab wouo sunna, vol 21, page 127.
[4] - Oubkat ul Anwar fi Imamatil A’immatoul At’ar, vol 13, deuxième section page 35, Oubkat ul Anwar fi Imamatil A’immatoul At’ar, vol 13, première section page 126, pour réfuter les hadiths sur lesquels ibn Hajar s’appuie, confer Al Ghadeer fi Kitab wouo sunna, vol 10, page 514 ; Tarjoumat ul Ghadeer fi Kitab wouo sunna, vol 20, page 267 à 278.
[5] - Tarjoumat ul Ghadeer fi Kitab wouo Sunna, vol 10 page 120.
[6] - Id, vol 5, page 449.
[7] - Minhaj ul sunna, vol 2, page 207, retrouvez la réponse de cette affirmation dans le livre Oubkat ul Anwar fi Imamatil A’immatoul At’ar, vol 13, deuxième section page33.
[8] - Oubkat ul Anwar fi Imamatil A’immatoul At’ar, vol 1, deuxième section page38.
[9] - Il dit également dans Minhaj : « Certes il n’existe pas des peaux mettant en évidence les mérites de Mouawiya dans les Sahih. Mais il a été aux côtés du prophète dans la guerre de Hounein, de Ta’if, de Tabouk et il a été avec lui lors du pèlerinage d’adieu du messager. Il était l’un des rédacteurs de la révélation, celui en qui le prophète a placé sa confiance pour recopier le livre de Dieu comme il l’avait fait à certains autres personnes parmi les compagnons ».
[10] - Oubkat ul Anwar fi Imamatil A’immatoul At’ar, vol 15, page 415.
[11] - Al Nassa’i avec un hadith qui ressort dans le livre Wafiyat ul i’yan, vol 1, page 21.
[12] - Oubkat ul Anwar fi Imamatil A’immatoul At’ar, vol 15, page 411 et 415, Tarjoumat ul dala’iloul Sidq, vol 1, page 7.
[13] - Oubkat ul Anwar fi Imamatil A’immatoul At’ar, vol 22, page 718 à 722.
[14] - Tarikh Ibn Kathir, vol 8 , page 139 et 140.
[15] - Tarjoumat ul Ghadeer fi Kitab wouo sunna, vol 19, page 217 et 218.
[16] - Pour en savoir plus sur le caractère fabriqué de ce hadith, consultez Oubkat ul Anwar fi Imamatil A’immatoul At’ar, vol 15, page 415, Naf’atoul Zahar fi Khoulassat ul Oukbat ul anwar, vol 12, page 165 à 171.
[17] - Al Ghadeer fi Kitab wouo sunna, vol 5, page 301.
[18] - Cela n’est pas étonnant ici car ibn Hajar dit dans l’introduction de Fat’ou Bari, page 4 : « Aba Ali Gassani cite Boukhary en affirmant qu’il a dit : « j’ai extrais ce hadith dans une base de données de six cent milles hadiths » car on sait parfaitement que le nombre de rapporteurs de hadiths dans Boukhary ne dépasse plus de deux cents soixante seize en excluant bien évidemment les répétitions.
[19] - id, vol 10, page 8.
[20] - Tarikh ul Khoulafa de Souyouti, page 133 ; Fat’ou Bari, vol 7, page 83, Al Sawa’ik, page 76.
[21] - Al Ahnna Mas’ouha, vol 1, page 220.
[22] - Sahih Boukhary, vol 3, page 1273, Bab 28.
[23] - Fath ou Bari, vol 7, page 83, page 104.
[24] - dans le 10ème volume d’Al Ghadeer, la fausseté de ce hadith est prouvée.
[25] - Tarjoumat ul Ghadeer fi Kitab wouo sunna, vol 21, page 127, extrait du logiciel de Behar ul anouar.