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Date de mise à jour:
2019/06/15
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Condensé de la question
Dans notre communauté, on exige toujours avant de faire une demande de mariage de consulter l’horoscope des conjoints. Très souvent, par le calcul de la valeur numérique de leur prénom afin de savoir s’ils auront des enfants, la richesse…ma question est la suivante : « Quelle est la position de l’islam par rapport à cela et qu’est ce qu’elle recommande ?
Question
Dans notre communauté, on exige toujours avant de faire une demande de mariage de consulter l’horoscope des conjoints. Très souvent, par le calcul de la valeur numérique de leur prénom afin de savoir s’ils auront des enfants, la richesse…ma question est la suivante : « Quelle est la position de l’islam par rapport à cela et qu’est ce qu’elle recommande ?
Résumé de la réponse
L’islam est la religion de la réflexion et de la méditation. La réflexion et la méditation est plus importante que l’adoration elle-même. L’islam encourage ses adeptes à réfléchir et à méditer dans tous les domaines afin de prendre des décisions sages dans tous ce qu’ils entreprennent. Lorsqu’après avoir réfléchi on ne parvient pas une solution, ou qu’on n’arrive pas à prendre une décision, l’islam recommande de consulter des personnes compétentes et dignes de confiance. Parfois, malgré le recours à ces consultants et à ces conseillers, il y a encore des doutes qui persistent et qui nous empêchent de prendre une décision finale. C’est ici alors que les traditions nous disent que pour dissiper ces doutes, nous devons procéder appelle l’Istikhara. (Demander l’issu de quelque chose à Dieu). Si on respecte toutes les étapes évoquées ci-dessus, les cas pour la consultation de L’Istikhara en islam seront réduits et ne concerneront que des cas où l’homme ne parvient pas à prendre la décision à la suite de la réflexion et le recours aux consultants. Avec ces explications, on comprend très bien qu’il n’y a pas de contradiction entre l’Istikhara, la réflexion, la méditation et l’action dans le coran. Etant donné que nous imams infaillibles sont des gens parfaits en ce qui concerne la réflexion et la connaissance, ils ne tombent jamais sous l’errance et de dubitation pour avoir besoin de passer par la consultation de Dieu. (Quelque chose que nous faisons de manière ordinaire). Quand on leur a posé la question à savoir comment faire pour dissiper le doute et la dubitation, il on répondu qu’il faut faire recours à L’Istikhara. D’où la légitimité de cette pratique.
Réponse détaillée
En ce qui concerne la prise de décision dans la vie de l’homme, l’islam confie le premier rôle à une force interne à savoir la réflexion et la méditation. Il est beaucoup recommandé dans le coran de réfléchir et méditer. Et la pire des personnes est celle qui s’engage dans quelque chose sans avoir réfléchi[1]. Selon l’imam Ali (as), l’une des raisons fondamentales de l’envoi des prophètes est l’épanouissement de la réflexion en l’homme.[2]
S’appuyer sur la réflexion et le discernement comme moyen de clairvoyance est quelque chose d’une aussi grande importance que Dieu en a fait l’un des principes fondamentaux dans la déduction des dispositions légales pratiques.
Dans les enseignements religieux, on insiste également sur d’autres facteurs qui contribuent beaucoup à la prise de décision sage. La consultation est le plus important de ces facteurs. Avec la consultation, la consultation, on réduit considérablement les irrégularités du raisonnement et on acquiert des informations ainsi que les expériences que les autres on acquit durant des années.[3] Parfois, on ne parvient pas à voir clair dans une affaire à la suite de la consultation. Et le doute persiste encore, ce qui nous empêche de prendre des décisions. C’est à ce niveau que les hadiths nous proposent d’avoir recours à l’Istikhara.
L’Istikhara est un terme qui a deux significations. Nous avons d’un côté la nature même de l’Istikhara dont on en parle beaucoup dans nos hadiths et nos traditions. Et cela se définit comme demander une bonne issue à Dieu. Ce genre d’Istikhara en fait provient d’une branche de l’invocation. Il s’agit de l’Istikhara tout court qui ne concerne pas uniquement le cas où on a des doutes, mais qui signifie demander ce qui est bien à Dieu dans tout ce qu’on fait et dans toutes les situations de la vie. C’est pour cette raison que l’imam Sadiq (as) rapporte que Dieu a dit : «le plus malheureux des hommes est celui qui commence quelque chose sans avoir fait recours à l’Istikhara (demander une issue favorable) »[4]. Donc selon ce qui ressort de plusieurs hadiths, ce genre d’Istikhara n’est pas destiné à dissiper l’errance, il est apprécié dans tous les niveaux d’une initiative.
La deuxième signification de l’Istikhara consiste à demander à Dieu ce qui est bien dans le but de dissiper un doute ou une préoccupation particulière. Cette demande d’issue favorable c’est lorsqu’on face à une issue favorable ou troublante dans laquelle on ne parvient pas à voir clair. Selon la seconde définition dans notre culture islamique repose fondamentalement sur trois avis :
a- Il y a un avis qui préconise qu’il faut faire l’Istikhara pour toute chose sans avoir besoin de réfléchir ou de méditer d’abord sur la question. Donc sans réfléchir, il fau se confier à l’Istikhara.
b- Le deuxième point est qu’il faut essentiellement se fier à des raisonnements et rejeter l’efficacité de l’Istikhara.
c- Un troisième avis qui confirme que la raison, le discernement, la consultation jouent un rôle très important. Ce troisième avis explique l’Istikhara et prouve que cela n’a aucune contradiction avec la réflexion et la méditation. Selon ce point de vue, il n’y a aucun obstacle religieux qui empêche l’Istikhara car l’Istikhara n’est rien d’autre que le fait de définir l’une des alternatives du doute. Donc, il ne nie pas le rôle et l’importance de la réflexion. Il ne prend non plus le côté pratique aux versets coraniques et ne déclare licite ce qui est illicite ou non obligatoire ce qui obligatoire, l’Istikhara ne change pas un décret de Dieu, mais il contribue juste à sauver celui qui le fait de toute forme de doute. Dans l’analyse de la validité de chacun des points de vue suivants, nous vous invitons à observer cet exposé :
Après les deux phases essentielles (la réflexion et la consultation), et avant d’avoir recours à l’Istikhara, il est recommandé dans les hadiths à l’individu qui est dubitatif de faire l’Istikhara et après avoir fait cela) la prière et le rappel de l’Istikhara), qu’il applique ce à quoi il pense beaucoup plus car après la prière, l’homme est encore très distant de Satan et les décisions qu’il prend sont divinement appréciées. En effet, répondant à quelqu’un qui lui demanda que faire lorsqu’on veut entreprendre quelque chose dans lequel on a le doute, l’imam Sadiq (as) dit : «lorsque tu te retrouve dans l’hésitation, deux rakat prière et dit cent une fois : «Astahiroullah» (je demande à Dieu ce qui est bien). Ensuite, regarde bien entre les deux cas lequel est plus convenable et opte pour cela car c’est dans cela qu’il y aura le bien Incha Allah[5]
Après tout cela, si le doute n’a pas été dissipé, comment est ce que la personne doit prendre la décision ?
Par rapport à ce qui a clair que l’Istikhara prit au second sens n’intervient que lorsque les suivantes sont réunies :
1 – La réflexion et la méditation suffisante de tous les aspects de la question.
2 – La consultation et les demandes de conseils aux sujets des spécialistes.
3 – Demander à Dieu ce qui est bien avec la prière et le rappel de l’Istikhara, ensuite, vous prenez la décision en fonction de ce qui vous vient le plus à l’esprit. En prenant en considération cette étape, deux points déterminés se présentent :
Premièrement, il est rare pour que dans la vie on face recours à l’étape précédente. Et aussi le fait que ne pense pour aucun des deux cas. Le doute est à cinquante pourcent de ce qu’on envisage faire. En respectant toutes les conditions, on réduira le nombre de recours à l’Istikhara qu’on fait souvent sans avoir respecté les étapes précédentes. Deuxièmement, si après cette étape, le doute persiste encore, et qu’en laissant le doute persister, on risque plutôt subir le repos dans tous ce qu’on fait, on peut plutôt avoir recours à l’Istikhara et demander à Dieu de vous donner une solution favorable.
Mais, en ce qui concerne le recours des imams infaillibles à l’Istikhara dans leur initiative, nous devons dire qu’Etant donné que nos guides (les imams infaillibles) sont des gens parfait en ce qui concerne la réflexion et la connaissance, ils ne sont jamais sous l’emprise des tolérances et de la dubitation pour avoir recours à l’Istikhara (tel que cela est en vogue entre nous). Mais, ils ont dans beaucoup de cas proposé l’Istikhara aux gens pour dissiper le doute ou toute situation dubitative.
Il est écrit dans un hadith qu’Ali Qomi dit : « je dis à l’imam Sadiq (as) : «je veux faire quelque chose, j’ai demandé à Dieu de me donner une issue favorable, mais je n’ai pas obtenu la réponse à savoir est ce que je dois faire ce travail ou non ? Alors l’imam Sadiq (as) lui dit : «Etant donné que l’homme se tient sur la natte pour faire la prière, Satan s’éloigne de lui plus qu’à tout autre moment, fais deux rakats de prière et ce qu’il y aura dans ton cœur à l’heure de la prière, agis en fonction de cela. Puis, ouvre le coran et la première que tu verras, mets la en pratique Incha Allah »[6]
Dans ce hadith, l’imam dit à cette personne : « que si elle n’obtient pas de résultat après avoir le résultat, il doit faire la prière, ensuite ouvrir le coran. Donc selon ce qui a été dit, l’Istikhara par le coran se fait lorsqu’il n’y a plus aucune autre voie pour prendre la décision. Ici, il n’y a pas d’autres choses de plus bénies comme le coran pour sortir de cette impasse. On peut donc retenir que lorsque l’on ne parvient pas à prendre des décisions, il peut faire recours au coran et s’inspirer des paroles lumineuses de celle-ci pour être orienté. Toute expression qu’il trouvera dans le coran contribuera à le guider de l’intérieur vers la vérité. Ce hadith témoigne du caractère légal de l’Istikhara du point de vue islamique.
D’autre part, la méthode que les savants ont employé de part le passé jusqu’à présent repose sur le fait que si l’un d’entre eux lui demandait de faire l’Istikhara, il fera pour eux. On peut également comme une des méthodes pratiquée par les savants avant et dire que c’est un autre argument qui confirme que dire que l’Istikhara est islamiquement légal.
Quand à savoir pourquoi les gens on trop recours à l’Istikhara et pourquoi de bonnes choses matérielles et spirituelles disparaissent à cause de l’Istikhara inapproprié. Ce problème est vrai et cela touche beaucoup les gens qui ne savent pas comment on doit pratiquer l’Istikhara. Et ils utilisent l’Istikhara de manière déplacée or si on l’utilise là où il faut, cela permettra à l’homme d’éviter le doute et de prendre les décisions appropriées.
Pour en savoir plus, consultez le thème
1 – L’Istikhara et l’ouverture du livre question 616, site 673.
2 – Le mariage et L’Istikhara, question 414 (site 431).
3 – Le rapport entre les efforts et l’invocation en ce qui concerne le mariage.
REFERENCES :
S’appuyer sur la réflexion et le discernement comme moyen de clairvoyance est quelque chose d’une aussi grande importance que Dieu en a fait l’un des principes fondamentaux dans la déduction des dispositions légales pratiques.
Dans les enseignements religieux, on insiste également sur d’autres facteurs qui contribuent beaucoup à la prise de décision sage. La consultation est le plus important de ces facteurs. Avec la consultation, la consultation, on réduit considérablement les irrégularités du raisonnement et on acquiert des informations ainsi que les expériences que les autres on acquit durant des années.[3] Parfois, on ne parvient pas à voir clair dans une affaire à la suite de la consultation. Et le doute persiste encore, ce qui nous empêche de prendre des décisions. C’est à ce niveau que les hadiths nous proposent d’avoir recours à l’Istikhara.
L’Istikhara est un terme qui a deux significations. Nous avons d’un côté la nature même de l’Istikhara dont on en parle beaucoup dans nos hadiths et nos traditions. Et cela se définit comme demander une bonne issue à Dieu. Ce genre d’Istikhara en fait provient d’une branche de l’invocation. Il s’agit de l’Istikhara tout court qui ne concerne pas uniquement le cas où on a des doutes, mais qui signifie demander ce qui est bien à Dieu dans tout ce qu’on fait et dans toutes les situations de la vie. C’est pour cette raison que l’imam Sadiq (as) rapporte que Dieu a dit : «le plus malheureux des hommes est celui qui commence quelque chose sans avoir fait recours à l’Istikhara (demander une issue favorable) »[4]. Donc selon ce qui ressort de plusieurs hadiths, ce genre d’Istikhara n’est pas destiné à dissiper l’errance, il est apprécié dans tous les niveaux d’une initiative.
La deuxième signification de l’Istikhara consiste à demander à Dieu ce qui est bien dans le but de dissiper un doute ou une préoccupation particulière. Cette demande d’issue favorable c’est lorsqu’on face à une issue favorable ou troublante dans laquelle on ne parvient pas à voir clair. Selon la seconde définition dans notre culture islamique repose fondamentalement sur trois avis :
a- Il y a un avis qui préconise qu’il faut faire l’Istikhara pour toute chose sans avoir besoin de réfléchir ou de méditer d’abord sur la question. Donc sans réfléchir, il fau se confier à l’Istikhara.
b- Le deuxième point est qu’il faut essentiellement se fier à des raisonnements et rejeter l’efficacité de l’Istikhara.
c- Un troisième avis qui confirme que la raison, le discernement, la consultation jouent un rôle très important. Ce troisième avis explique l’Istikhara et prouve que cela n’a aucune contradiction avec la réflexion et la méditation. Selon ce point de vue, il n’y a aucun obstacle religieux qui empêche l’Istikhara car l’Istikhara n’est rien d’autre que le fait de définir l’une des alternatives du doute. Donc, il ne nie pas le rôle et l’importance de la réflexion. Il ne prend non plus le côté pratique aux versets coraniques et ne déclare licite ce qui est illicite ou non obligatoire ce qui obligatoire, l’Istikhara ne change pas un décret de Dieu, mais il contribue juste à sauver celui qui le fait de toute forme de doute. Dans l’analyse de la validité de chacun des points de vue suivants, nous vous invitons à observer cet exposé :
Après les deux phases essentielles (la réflexion et la consultation), et avant d’avoir recours à l’Istikhara, il est recommandé dans les hadiths à l’individu qui est dubitatif de faire l’Istikhara et après avoir fait cela) la prière et le rappel de l’Istikhara), qu’il applique ce à quoi il pense beaucoup plus car après la prière, l’homme est encore très distant de Satan et les décisions qu’il prend sont divinement appréciées. En effet, répondant à quelqu’un qui lui demanda que faire lorsqu’on veut entreprendre quelque chose dans lequel on a le doute, l’imam Sadiq (as) dit : «lorsque tu te retrouve dans l’hésitation, deux rakat prière et dit cent une fois : «Astahiroullah» (je demande à Dieu ce qui est bien). Ensuite, regarde bien entre les deux cas lequel est plus convenable et opte pour cela car c’est dans cela qu’il y aura le bien Incha Allah[5]
Après tout cela, si le doute n’a pas été dissipé, comment est ce que la personne doit prendre la décision ?
Par rapport à ce qui a clair que l’Istikhara prit au second sens n’intervient que lorsque les suivantes sont réunies :
1 – La réflexion et la méditation suffisante de tous les aspects de la question.
2 – La consultation et les demandes de conseils aux sujets des spécialistes.
3 – Demander à Dieu ce qui est bien avec la prière et le rappel de l’Istikhara, ensuite, vous prenez la décision en fonction de ce qui vous vient le plus à l’esprit. En prenant en considération cette étape, deux points déterminés se présentent :
Premièrement, il est rare pour que dans la vie on face recours à l’étape précédente. Et aussi le fait que ne pense pour aucun des deux cas. Le doute est à cinquante pourcent de ce qu’on envisage faire. En respectant toutes les conditions, on réduira le nombre de recours à l’Istikhara qu’on fait souvent sans avoir respecté les étapes précédentes. Deuxièmement, si après cette étape, le doute persiste encore, et qu’en laissant le doute persister, on risque plutôt subir le repos dans tous ce qu’on fait, on peut plutôt avoir recours à l’Istikhara et demander à Dieu de vous donner une solution favorable.
Mais, en ce qui concerne le recours des imams infaillibles à l’Istikhara dans leur initiative, nous devons dire qu’Etant donné que nos guides (les imams infaillibles) sont des gens parfait en ce qui concerne la réflexion et la connaissance, ils ne sont jamais sous l’emprise des tolérances et de la dubitation pour avoir recours à l’Istikhara (tel que cela est en vogue entre nous). Mais, ils ont dans beaucoup de cas proposé l’Istikhara aux gens pour dissiper le doute ou toute situation dubitative.
Il est écrit dans un hadith qu’Ali Qomi dit : « je dis à l’imam Sadiq (as) : «je veux faire quelque chose, j’ai demandé à Dieu de me donner une issue favorable, mais je n’ai pas obtenu la réponse à savoir est ce que je dois faire ce travail ou non ? Alors l’imam Sadiq (as) lui dit : «Etant donné que l’homme se tient sur la natte pour faire la prière, Satan s’éloigne de lui plus qu’à tout autre moment, fais deux rakats de prière et ce qu’il y aura dans ton cœur à l’heure de la prière, agis en fonction de cela. Puis, ouvre le coran et la première que tu verras, mets la en pratique Incha Allah »[6]
Dans ce hadith, l’imam dit à cette personne : « que si elle n’obtient pas de résultat après avoir le résultat, il doit faire la prière, ensuite ouvrir le coran. Donc selon ce qui a été dit, l’Istikhara par le coran se fait lorsqu’il n’y a plus aucune autre voie pour prendre la décision. Ici, il n’y a pas d’autres choses de plus bénies comme le coran pour sortir de cette impasse. On peut donc retenir que lorsque l’on ne parvient pas à prendre des décisions, il peut faire recours au coran et s’inspirer des paroles lumineuses de celle-ci pour être orienté. Toute expression qu’il trouvera dans le coran contribuera à le guider de l’intérieur vers la vérité. Ce hadith témoigne du caractère légal de l’Istikhara du point de vue islamique.
D’autre part, la méthode que les savants ont employé de part le passé jusqu’à présent repose sur le fait que si l’un d’entre eux lui demandait de faire l’Istikhara, il fera pour eux. On peut également comme une des méthodes pratiquée par les savants avant et dire que c’est un autre argument qui confirme que dire que l’Istikhara est islamiquement légal.
Quand à savoir pourquoi les gens on trop recours à l’Istikhara et pourquoi de bonnes choses matérielles et spirituelles disparaissent à cause de l’Istikhara inapproprié. Ce problème est vrai et cela touche beaucoup les gens qui ne savent pas comment on doit pratiquer l’Istikhara. Et ils utilisent l’Istikhara de manière déplacée or si on l’utilise là où il faut, cela permettra à l’homme d’éviter le doute et de prendre les décisions appropriées.
Pour en savoir plus, consultez le thème
1 – L’Istikhara et l’ouverture du livre question 616, site 673.
2 – Le mariage et L’Istikhara, question 414 (site 431).
3 – Le rapport entre les efforts et l’invocation en ce qui concerne le mariage.
REFERENCES :
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