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Que le versent "' وَالسَّابِقُونَ الأَوَّلُونَ مِنَ الْمُهَاجِرِینَ وَالأَنصَارِ » (Les tout premiers [croyants] parmi les Emigrés et les Auxiliaires … ) s'applique ou pas au vénéré Imam Ali( béni soit-il), cela n'enlève rien à cette vérité que ce denier fut le premier à embrasser l'Imam, car, il est, unanimement, approuvé et confirmé que la vénéré Khadîdja, épousée vénérable et dévouée du noble prophète ( que le Dieu le bénisse, lui et les siens), fut la première femme à accepter l'islam. Tous les savants chiites et de nombreux savants musulmans de confession sunnite sont d'avis que le vénéré Imam Ali (béni soit-il), fut le premier homme à accepter l'invitation du noble prophète de l'islam pour embrasser l'Islam. Donc, le vénéré Imam Ali(AS), est la première personne à qui peut s'appliquer ce verset. Mais, en ce qui concerne l'objection faite au sujet de la forme au pluriel du mot « السَّابِقُونَ », il faut dire que l'emploi du pluriel pour désigner une ou deux personnes n'est pas chose nouvelle, car le pluriel désignant une seule personne est employé, en abondance, que ce soit dans le noble coran, ou dans la littérature arabe, point sur lequel nous attarderons plus tard, dans le présent texte.
Il est nécessaire de tenir compte de deux points essentiels avant d'interpréter le verset " وَالسَّابِقُونَ الأَوَّلُونَ مِنَ الْمُهَاجِرِینَ وَالأَنصَار» (Les tout premiers [croyants] parmi les Emigrés et les Auxiliaires …).
Premier point : Abstraction faite de ce verset ou d'autres versets du noble coran, le vénéré Imam Ali (béni soit-il), fut-il le premier à croire en noble prophète de l'islam, que le salut de Dieu soit sur lui et sur ses descendants) ? Autrement dit, les faits historiques confirment-ils que, Ali Ibn Abi Talib était le premier homme à avoir foi en Messager de Dieu ?
Deuxième point : Si, hypothétiquement, ce verset ne désigne pas une personne particulière, peut-on l'adapter, par comparaison et non pas les circonstances de la révélation, au vénéré imam Ali(AS) ?
Premier point
S'agissant du premier point, il faut dire : « Quiconque se réfère aux livres d'exégèse, de hadith, et de la biographie des Infaillibles, s'aperçoit, clairement, que le récit des premiers croyants en Islam occupe une place particulière et privilégiée. Il n'y en a aucun doute, surtout, lorsqu'il s'agit du verset susmentionné. En guise de réponse à la première partie de vote question pour savoir si Ali Ibn Abi Talib était le premier homme à accepter l'islam, nous disons : « Les historiens de confession sunnite et chiite croient, unanimement, que la première femme à croire en noble prophète (que Dieu le bénisse, lui et les siens), fut son épouse vénérable et dévouée, Khadîdja. Tous les savants chiites et de nombreux savants musulmans de confession sunnite sont d'avis que le vénéré Imam Ali (béni soit-il), fut le premier homme à accepter l'invitation du noble prophète pour embrasser l'Islam. 1[1] Cependant, certains ont attribué ce privilège, c'et à dite, être le premier à accepter l'islam, aux autres ! Ils ont avancé ce prétexte qu'à cette époque-là, le vénéré Ali fut à l'âge d'adolescence. Dans le présent texte, nous ne voulons pas faire la critique de ces étroitesses de vue, car l'important est de prouver cela par le biais des hadiths. Donc, nous mentionnons, ci-dessous, quelques hadiths sur ce sujet.
A ce propos, il est écrit, ainsi, dans l'histoire de Tabari : « les prédécesseurs eurent une divergence sur la première personne qui crut, après Khadîdja, en Messager de Dieu. Il a y ceux qui disent qu'Ali Ibn Abi Talib fut le premier homme à croire en prophète et à faire la prière derrière lui. Tabari poursuivit : Ibn Hamid dit : Ibrahim Ibn Mukhtar, citant Chou'ba, citant Abu Balaj citant `Amrou ibn Maymoun citant Ibn Abbas, rapporta qu'Ali fut le premier homme à faire la prière derrière le Messager de Dieu(S.A.W). 2 [2] De même, citant Jabir, Tabari rapporte que le prophète fut investi de la mission prophétique, le lundi et Ali accomplit la prière, le mardi. 3[3] Citant Ibn Arqam, il rapporte, encore : « Ali fut la première personne qui crut en prophète ». 4[4] Citant Zayd Ibn Arqam, Ibn Athir rapporte : « Ali fut la première personne qui crut en prophète ». De même, Afif Kanadi dit : « Mon œuvre, c'était de faire le négoce. Je suis arrivé à la Mecque. Ce fut la période du pèlerinage (le Hajj). J'ai vu Abbas. En ce moment-là, j'ai vu un homme venir et accomplir la prière à côte de la Kaaba. Ensuite, une dame est venue faire la prière derrière lui, puis un adolescent est venu faire la prière avec lui. Puis, j'ai demandé à Abbas : Qu'est-ce que cette religion ? Abbas me répondit : Cet homme est Mohammad Ibn Abdullah. Il est mon neveu(le fils de mon frère). Cette dame est son épouse et cet adolescent est Ali Ibn Abi Talib, qui ont cru en lui. Je jure par Dieu que personne, sauf ces trois personnes, ne sait ce que signifie cette religion. Afif dit : J'aurais aimé être la quatrième pour les rejoindre ». 5 [5] Ahmad Ibn Hanbal dit : «Wakî' Ibn Chou'ba entendant de Amrou Ibn Marah entendant d'Abou Hamza, allié des Ansars (des Auxiliaires), entendant de Zayd Ibn Arqam, dit : « Ali fut la première personne qui crut en prophète ». 6[6] Tirmidhî, dans son livre intitulé « Sunan » écrit : « J'ai entendu Zayd Ibn Arqam dire qu'Ali fut la première personne à embrasser l'Islam ». 7[7] Dans son livre intitulé Tabaqat, Ibn Sa'ad écrit : « Wakï' Ibn Djirah citant Yazid Ibn Haroun citant Afan Ibn Muslim citant Chou'ba citant Abu Hamza citant Zayd Ibn Arqam, m'a informé qu'Ali fut la première personne à avoir cru en prophète de l'Islam ». 8[8] Cette question est d'une grande notoriété parmi les savants musulmans de confession sunnite, et ce à tel oint qu'un certain nombre d'entre eux sont, unanimement, d'accord sur ce sujet, dont Hakim al-Nishaburi, qui aborde cette question dans Mustadrak al-Sahîhayn et Kitab al-Ma'rifa. Qurtubi apporte une citation de lui : « Les historiens ne divergent sur le fait qu'Ali Ibn Abi Talib fit la premier à devenir musulman, leur divergence sur le fait de savoir si lorsqu'il crut, il avait atteint l'âge de maturité ou non ». 9[9] Ibn Abd al-Bar, dans son livre « al-Isti'ab » écrit : « Il s'agit d'une question consensuelle et qui fait l'objet de l'unanimité. La première personne qui crut en Messager de Dieu fut son épouse, Khadîdja, suivie d'Ali ». 10[10] Abu Ja'far Askafi dit : « Tous les gens ont rapporté l'honneur d'Ali d'être le premier à accepter l'Islam ». 11 [11] Tout ce que nous venons d'expliquer, avait été tiré des sources, des textes de hadith et d'histoire, rapportés par les Sunnites. Et s'agissant des sources chiites, nous nous contenterons de vous mentionner, ne serait-ce qu'une partie, de ce que l'auteur du Tafsir al-Burhan a rapporté sur ce sujet : Dans le sermon du vénéré Imam Hassan (béni soit-il), prononcé après la paix avec Muawiya, nous lisons : « Mon père fut le premier qui accepta l'invitation de Dieu, le Très-Haut et de Son Messager. Lui, il fut le premier à avoir la foi et à croire à Dieu et en Son messager ». 12[12] Ibn Shar Achûb Mazandari dit : « Plusieurs livres sont écrits sur les hadiths portant sur le fait qu'Ali fut le premier à accepter l'Islam ». 13 [13] Le vénéré Imam Sadiq (béni soit-il), dit : le verset « Les tout premiers [croyants] parmi les Emigrés et les Auxiliaires et ceux qui les ont suivis dans un beau comportement, Allah les agrée, et ils L'agréent. Il a préparé pour eux des Jardins sous lesquels coulent les ruisseaux, et ils y demeureront éternellement. Voilà l'énorme succès », s'applique à Ali et à ceux des Emigrés et des Auxiliaires qui obéirent au Messager de Dieu. » 14[14] Dans cette partie, nous nous contentons de fournir cette explication et nous disons qu'il n'y a aucun doute l'Imam Ali (béni soit-il), fut, à juste tire, le premier à croire en envoyé et messager de Dieu. Les savants chiites ont rejeté les raisons de ceux qui estiment qu'Abou Bakr fut le premier à croire en Messager de Dieu. L'auteur du Tafsir Nemouneh, tout en rejetant les raisons avancées par ces derniers, écrit : « l'intéressant c'est que ceux qui n'ont pas pu nier le fait qu'Ali ( que la paix et la bénédiction de Dieu soient sur lui), fut le premier à avoir la foi et à croire en Islam, s'efforcent, pour certaines raisons, de le nier, d'une autre façon, ou de le sous-estimer, et certains aussi cherchent à suggérer qu'Abu Bakr fut le premier à devenir musulman. Parfois, ils disent qu'Ali (béni soit-il), n'avait, à cette époque, que 10 ans, et qu'il était, naturellement, mineur, et partant de là, sa foi en Islam, en qualité d'un adolescent, n'avait pas eu une influence dans le renforcement et la puissance du front des Musulmans face à l'ennemi. 15 [15] C'est, vraiment, bizarre ! Car, premièrement, cela équivaut une objection faite à la personne du prophète (que le salut de Dieu soit sur lui et sur ses descendants), car, nous savons, tous, que lors de Yawm Al-Dar, le noble prophète présenta l'islam à ses proches et à sa tribu et personne n'accepta son invitation à l'Islam qu'Ali (béni soit-il). Le prophète (que Dieu le bénisse, lui et les siens), accepta son islam. Même, en s'adressant à lui, il annonça : « Tu es mon frère, mon représentant et mon successeur ». Deuxièmement, l'âge bas d'Ali (béni soit-il), à cette époque, n'enlève rien de l'importance de la question, surtout que le noble coran, à propos du vénéré Yahya, dit, clairement : « «Ô Yaḥya, tiens fermement au Livre (la Thora)!» Nous lui donnâmes la sagesse alors qu'il était enfant ». 16[16] Et à propos du vénéré Jésus, à un moment où les gens se faisaient les doutes et s'étonnaient de voir un bébé parlait au berceau, il dit : «Je suis vraiment le serviteur d'Allah. Il m'a donné le Livre et m'a désigné Prophète » 17[17]Troisièmement, il n'est pas, évident, du point de vue historique, qu'Abou Bakr soit le troisième à accepter l'islam, car de nombreux livres d'histoire et d'hadith ont évoqué le nom d'autres personnes qui l'ont précédé dans l'acceptation de l'islam. En outre, Ibn Abi al-Hadid, citant Abou Ja'far Askafi, célèbre savant sunnite (Moutazilite), rapporte : Certains disent qu'Abou Bakr fut le premier à accepter l'islam. Si cela est correcte, pourquoi ni lui ni aucun de ses sympathisants n'ont rien dit sur sujet dans leurs arguments ». 18[18] L'auteur de Kashf al-Murad fi Sharh répond, ainsi, à ce doute : « Si quelqu'un avance cette objection que l'acceptation de l'islam par Ali Ibn Abi Talib eut lieu avant qu'il atteigne l'âge de maturité et qu'un tel islam n'est pas acceptable, nous lui répondrons :
Ali eut 65 ou 66 au moment de son martyre. Le prophète vécut 23 ans après son avènement à la mission prophétique et Ali vécut environ 30 ans après le décès du prophète(S.A.W). Par conséquent, Ali (AS) avait entre 12 à 13 ans, au moment où le noble prophète, que Dieu le bénisse, lui et les siens, fut investi de la mission prophétique. A cet âge, la maturité est possible. Donc, Ali constitue l'exemple de cette parole du prophète qui dit à sa fille, la vénérée Fatima (bénie soit-elle) : Je t'ai marié à quelqu'un qui fut le premier à accepter l'Islam et qui est le plus sage des hommes ». 19 [19] Il arrive, parfois, que les enfants se perfectionnent, du point de vue de la raison (le 'Aql), et atteignent la maturité intellectuelle avant d'atteindre la maturité corporelle. Dans un tel cas, ils ont l'obligation d'accomplir leurs devoirs religieux. C'est pourquoi, Abou Hanifa considère comme valide la conversion en islam des enfants. Il est nécessaire de rappeler certains points sur ce sujet.Premièrement : les enfants sont, naturellement, attirés par l'affection des parents (le père et la mère), et si un enfant se tourne vers Dieu pour chercher Son affection, au lieu de celle des parents, cela est la marque de sa perfection et de sa maturité intellectuelle.
Deuxièmement : Les enfants sont, du point de vue instinctif, adaptés aux loisirs et aux jeux, et non pas à la réflexion et à la précision dans les affaires rationnelles et les obligations divines. Donc, le détournement de ce qui est agréable à leur nature et l'attraction vers ce qui est en disproportion avec leur nature, est, en soi, la preuve de leur perfection et cela est la preuve du fait qu'Ali fut le premier à croire en Islam. 20 [20]
Deuxième point
Si, nous acceptons, hypothétiquement, que le verset " وَالسَّابِقُونَ الأَوَّلُونَ مِنَ الْمُهَاجِرِینَ وَالأَنصَار» (Les tout premiers [croyants] parmi les Emigrés et les Auxiliaires …) ne fut pas révélé pour désigner le rang du vénéré Imam Ali (béni soit-il), car les exégètes ont avancé plusieurs interprétations au sujet des circonstances de la révélation de ce verset, mais cela de l'adapter à l'exemple le plus évident et le plus manifeste qu'est le vénéré Imam Ali. Ahmad Ibn Hanbal citant Ibn Abbas et Sayouti, citant Abou Na'im, citant Ibn Abbas rapporte que le noble prophète, que le salut de Dieu soit sur lui et sur ses descendants, dit : « Aucun verset contenant « Ô les croyants » n'a été révélé, à moins qu'il ne désigné, en premier lieu et en tête, Ali ». 21[21] Mais, en ce qui concerne l'objection faite au sujet de l'emploi du pluriel, il faut dire : Premièrement, s'il est dit que ce verset ne désigne pas l'Imam Ali et que ce verset l'y ait adapté, en raison du fait qu'il fut le premier à accepter l'islam, il n'y aura plus aucun lieu d'avancer cette objection ».
Deuxièmement : Même si nous croyons que ce verset est révélé pour désigner le rang du vénéré Imam Ali, il n'y aura aucun lieu de remettre en cause cette conviction, car :
En raison de l'existence de multiples preuves et arguments, il n'y a aucun lieu de faire cette objection. l'emploi du verbe au pluriel pour désigner une ou deux personnes n'est pas chose nouvelle, car le pluriel désignant une seule personne est employé, en abondance, que ce soit dans le noble coran, ou dans la littérature arabe. A titre d'exemple, nous lisons, dans le noble coran : « Certes ceux auxquels l'on disait: «Les gens se sont rassemblés contre vous; craignez-les» - cela accrut leur foi - et ils dirent: «Allah nous suffit; Il est notre meilleur garant». 22[22] De l'avis des exégètes, le terme « Nâs » (les gens), désigné Na'im ibn Masoud qui avait reçu des biens d'Abou Sofyan en échange de susciter la panique au sein des Musulmans quant au nombre élevé des Mécréants. Dans un autre verset du noble coran, nous lisons : « Allah a certainement entendu la parole de ceux qui ont dit: «Allah est pauvre et nous sommes riches.» Nous enregistrons leur parole, ainsi que leur meurtre, sans droit, des prophètes. Et Nous leur dirons: «Goûtez au châtiment de la fournaise ». 23[23] De nombreux exégètes estiment que ce verset désigne Hayy Ibn Akhtab ou Fanhas. Parfois, l'emploi de la forme au pluriel est destiné à révérer et à honorer une personne. A propos du vénéré Abraham, nous lisons, ainsi, dans le noble coran : « Abraham était un guide ('Umma) parfait(19). Il était soumis à Allah, voué exclusivement à Lui et il n'était point du nombre des associateurs ». 24[24] Ici, « 'Umma », qui est un nom pluriel s'applique au vénéré Abraham. 25 [25] Toujours, dans le noble coran, nous lisons : « Ils disent: «Si nous retournons à Médine, le plus puissant en fera assurément sortir le plus humble». 26[26] Or c'est à Allah qu'est la puissance ainsi qu'à Son messager et aux croyants. Mais les hypocrites ne le savent pas ». Les exégètes s'accordent, unanimement, à souligner que le terme « Yaqooloona » (Ils disent), qui est au pluriel, désigne un hypocrite dénommé Ibn Abi. Sont nombreux les versets dans le noble coran où le pluriel est employé pour désigner une seule personne. 27[27]
[1] Makarem Shirazi, Nasser, Tafsir Nemouneh, t.8, p.103, Dar ul-Kutub al-Islamiya, Téhéran, première publication 1995.
[2] Tabari, Abou Ja'far Mohammad Ibn Jarir Tabari, Tarikh ul-Omam Wa al-Muluk, connu sous le nom de Tarikh-e Tabari, t.2, p.310, Enquête : Mohammad Abu al-Fazl Ibrahim, Beyrouth, Dar al-Tarath, deuxième publication, 1967.
[3] Idem.
[4] Idem.
[5] Inb Athir, 'izz al-Dinn, Abul Hassan, Al-Kamil Fi Al-Tarikh, t.2, p.57, Beyrouth, Dar Sadir, 1965.
[6] Ahmad Ibn Hanbal, Musnad, Hadith 18478, citation du logiciel du site Internet Al-Maktaba al-Shamela (que l'on pourrait traduire par « La bibliothèque universelle).
[7] Tirmidhi, Sunan, Hadith 4100, citation du logiciel du site Internet Al-Maktaba al-Shamela (que l'on pourrait traduire par « La bibliothèque universelle).
[8] Ibn Sa'ad, Mohammad Ibn Sa'ad Ibn Moni' al-Hashimi al-Basari, al-Tabaqat al-Kobra, t.3, p.15, enquête : Mohammad Abd al-Qadir Atta, Beyrouth, Darul Kutub Al Ilmiyah, première publication, 1990.
[9] Qurtubi, Mohammad Ibn Ahmad, Al-Jami li-Ahkam al-Qur'an, t.8, p. 235, Nasser Khosro, Téhéran, première publication, 1406 de l'hégire lunaire.
[10] Ibn Abd al-Bar, Abou Omar Youssuf Ibn Abdullah Al-Isti'ab Fi Ma'rifat al-Ashab, t.3, p.1093, enquête Ali Mohammad Al-Bajawi, Beyrouth, Dar al-Jil, première publication 1992.
[11] Tafsir Nemouneh, t.8, p.104.
[12] Bohrani Seyyed Hashim, Al-Burhan Fi Tafsir al-Qur'an, t..2, p.829, l'institut de Bisât, Téhéran, première publication 1416 de l'hégire lunaire.
[13] Idem, 833.
[14] Idem.
[15] Cette parole est rapportée par Fakr-e Razi pour interpréter ce verset.
[16] La sourate 19(Marie), le verset 12.
[17] La sourate 19(Marie), le verset 30.
[18] Tafsir Nemouneh, t.8, pp. 100-107.
[19] Zahbi Tarikh al-Islam, enquête Omar Abd al-Salam, t.3, p.638, Dar al-Kitab al-Arabi, Beyrouth, deuxième publication, 1993.
[20] Sobhani, Jaafar, Kashf al-murād fī sharḥ , p.223, BI Ta, Bi Ja.
[21] Jalal al-Dinn, Sayouti, al-Durr al-manthur fi al-tafsir al-ma'thur, t.1, p.104, La bibliothèque de l'Ayatollah Mar'ashi Nadjafi, Qom, Balaqi Najafi, Mohammad Jawad, Alâ al-Rahman Fi Tafsir al-Qur'an, t.1, p.11, l'institut Bisât, première publication, Qom, 1420 de l'hégire lunaire.
[22] La sourate 3(la Famille d'Imran), le verset 173.
[23] La sourate 3(La Famille d'Imran), le verset 181.
[24] La sourate 16(Les Abeilles), le verset 120.
[25] Tafsir Nemouneh, t.2, p.588.
[26] La sourate 63( les Hypocrites), le verset 8.
[27] RF : Muhammad al-Kazimi Qazwini Radda al-Saqifa, t.1, p. 269.