La représentation dans la prière ou dans le jeûne n’est pas autorisée pour un fidèle. Il incombe à toute personne arrivée à la puberté de remplir les devoirs religieux, notamment les prières obligatoires et cela par tous moyens (debout, assis, allongé, voire par des gesticulations, des signes et des mimiques).

L’Imam Khomeiny (que sa demeure soit au Paradis de Dieu) et d’autres sources d’imitation affirment à ce propos que : « Tant qu’un individu est capable de s’assoir, il ne doit pas faire sa prière en position allongée) et s’il n’arrive pas à s’assoir correctement, il devrait s’assoir comme il le pourra et s’il n’arrive pas du tout à s’assoir, il doit s’allonger sur son côté droit, sinon il doit s’allonger sur son côté gauche et s’il ne lui pas possible, il doit s’allonger sur son dos, de manière à ce que les paumes de ses pieds soit positionnés en direction du Qibla (la direction de La Mecque pour la prière) ». [1]  

Par ailleurs, le fidèle doit accomplir ses prières compensatoires de son vivant.  L’Imam Khomeiny (que sa demeure soit au Paradis de Dieu) et d’autres sources d’imitation affirment à ce propos que : «  Tant que le fidèle est vivant, personne d’autre ne peut accomplir à sa place ses prières voire ses prières compensatoires, même si ce fidèle est incapable de les accomplir lui-même ». [2]  

Par conséquent, tant que les parents (le père et la mère) sont vivants, l’on ne pourra pas accomplir leurs prières obligatoires à leur place. Toutefois, l’accomplissement des prières recommandées à leur place est permis.